Gialiskari beach est situé sur le Mer Ionienne (partie de Mer Méditerranée) et il se trouve à la 120ème place sur 504 plages de la région Îles Ioniennes à 12.8 km de son centre, la ville de Corfou. C'est l'une des plages de Kalámi, à seulement 0.6 km de son centre.
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La plage captivante de Gialiskari occupe une place spéciale dans mon cœur car elle offre un mélange unique de terrain sablonneux et pierreux. Accessible uniquement à pied, cette plage pittoresque peut être atteinte à partir des plages d'Agni et de Kalami, bien que cette dernière nécessite une randonnée plus longue.
Malheureusement, nous n'avons pas pu atteindre la plage en raison de sa fermeture par une porte. Malgré notre proximité, nous avons été contraints d'abandonner nos projets et de faire demi-tour. Cependant, nous avons réussi à trouver une route alternative et sommes finalement arrivés à la plage de Kalami via une route étroite.
Nichée le long de la côte, une sente conduit à une plage pittoresque et privée. Notre temps passé là-bas fut paisible et serein, avec des eaux cristallines et une atmosphère paisible. La plage était presque déserte, nous permettant de nous immerger pleinement dans la beauté naturelle de notre environnement. Nous avons savouré la simplicité et la pureté de ce joyau caché.
La plage est un joyau absolu avec une eau cristalline parfaite pour la plongée en apnée. C'est un paradis pour les amoureux de la nature et le meilleur, c'est que vous pouvez atteindre cet endroit isolé avec une courte randonnée depuis la plage d'Agni en seulement 5 à 10 minutes. Bien qu'il soit recommandé de porter des chaussures solides, le chemin est également accessible en tongs. Les vues à couper le souffle et l'atmosphère sereine en font une destination incontournable pour quiconque cherche à se détendre et à se reconnecter avec la nature.
La plage a été une déception, avec seulement quelques cailloux dispersés et des falaises qui posaient un danger pour quiconque tentait de sauter dans l'eau. Bien que l'eau fût cristalline, elle ne valait guère l'effort qu'il a fallu faire pour y arriver, d'autant plus qu'il n'y avait pas d'aménagements tels que des parasols ou des kiosques pour fournir le moindre confort ou rafraîchissement. Le manque de foule n'était guère une consolation, car il ne faisait que souligner la désolation générale de la région.